Témoignage du festival MIMI d'actions pour améliorer la communication et la sensibilisation du public dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.
Certains cétacés possèdent une sensibilité à un champ magnétique, c'est ce que révèle une étude expérimentale. Bien que les processus en jeu restent méconnus, cette découverte scientifique ouvre une nouvelle fenêtre sur la compréhension du monde sensoriel des dauphins. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (12/11/2014).
En seulement trente ans, 421 millions d’oiseaux ont disparu du Vieux Continent pour une population totale estimée à 2 milliards d’individus. Si certaines espèces rares se portent mieux, les plus communes sont en revanche plus vulnérables. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (10/11/2014).
Chez l’Homme, l’altération de la mémoire liée au vieillissement naturel serait causée par des changements dans une région spécifique du cerveau. Cette forme de déclin cognitif pourrait être enrayée par une intervention diététique à base de cacao. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (30/10/2014).
Un reptile originaire de Floride s'est déplacé vers des perchoirs élevés suite à l'invasion de son territoire par une espèce du même genre arrivée des Caraïbes. Sa survie dans ce nouveau milieu a été assurée par des modifications étonnamment rapides de la morphologie de ses pattes. Cette découverte montre que des interactions entre espèces apparentées peuvent conduire à un changement évolutif sur une courte échelle de temps, même chez des vertébrés. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (30/10/2014).
L'énigme de la rencontre amoureuse entre le mâle et la femelle chez le papillon de nuit vient d'être résolue à l'aide des mathématiques. L'explication réside dans la trajectoire des particules odorantes émises par la reine du soir et la sensibilité olfactive de ses prétendants. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (27/10/2014).
Au cours d'une expédition nocturne dans la forêt amazonienne, un entomologiste a repéré un étrange animal au son particulier qu'il émettait. Il faisait la rencontre de l'une des plus grosses araignées au monde. Récit de cette expérience rare, vécue avec une espèce habituellement discrète. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (25/10/2014).
Lisez mon reportage sur les écovolontaires qui recensent baleines et dauphins de la Grande Bleue dans le tout nouveau tout beau Provence Durable magazine !
En kiosque et en magasins bio :
"Méditerranée : des baleines sous haute surveillance" Provence Durable- n°1 - automne 2014
Il n’y a pas un, mais six virus Ebola à ce jour. Évolutive, la classification du virus distingue en effet six espèces suivant leur localisation initiale : Ebola Zaïre (virus identifié en 1976 dans la future RD Congo), Ebola Soudan (reconnu en 1979 au Soudan et en Ouganda), Ebola Reston (déterminé pour la première fois en 1983 à Reston, aux États- Unis), Ebola Forêt de Taï (ou Ebola Côte d’Ivoire, découvert en 1994, également en Guinée et au Liberia) et Ebola Bundibugyo (2008, issu d’une région ougandaise). La dernière souche virale confirmée est Ebola Guinée, qui sévit actuellement en Afrique de l’Ouest.
Leur sévérité pathologique varie : alors que la létalité d’Ebola Zaïre est théoriquement de 90 %, celle d’Ebola Soudan est moindre et celle d’Ebola Reston quasi nulle. Le taux de mortalité serait corrélé à la variabilité génétique des virus, de 30 % à 40% d’une souche à l’autre. Ainsi, Ebola Bundibugyo s’apparente davantage à Ebola Forêt de Taï, mais s’avère plus virulent que ce dernier.
La propagation interhumaine se réalise par le contact de sang, de selles et de liquides biologiques infectés ou de surfaces et matériaux souillés. Si les épidémies d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale ne sont pas liées – la souche congolaise étant génétiquement proche à 99,2 % d’Ebola Zaïre –, l’émergence de la maladie s’accélère pour autant. Connaître les modes de propagation du virus dans son réservoir naturel et de transmission entre espèces différentes serait ainsi salutaire dans la prévention et le contrôle d’Ebola.
Article à retrouver dans Jeune Afrique (numéro double 2807-2808 - du 26 octobre au 8 novembre 2014).