Environnement

Les lézards mâles, comme cet anole vert (Anolis carolinensis), possèdent un organe copulateur tubulaire finalisé par deux hémipénis symétriques d'où s'écoule la semence. © Cowenby, Wikimedia, CC by-sa 3.0
Les lézards mâles, comme cet anole vert (Anolis carolinensis), possèdent un organe copulateur tubulaire finalisé par deux hémipénis symétriques d'où s'écoule la semence. © Cowenby, Wikimedia, CC by-sa 3.0

Les chercheurs ont déjà beaucoup étudié les anoles, ces lézards vivant en Amérique et dans les Caraïbes. Ils en connaissent davantage sur leurs habitats, leurs relations avec d'autres espèces ou encore leur morphologie. Une nouvelle découverte surprenante vient pourtant d'être faite. Elle révèle que l'appareil reproducteur masculin de cet animal évolue beaucoup plus rapidement que le reste de son anatomie. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (19/01/2015).

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Découvert en 1996, le genre Limnonectes, endémique du Sulawesi, a divergé en plusieurs espèces qui se sont adaptées à différents habitats et régimes alimentaires. Ces grenouilles pèsent entre 2 et 900 g. Seules 4 des 25 espèces estimées sont réellement connues. Ici, un adulte et deux têtards (cercle jaune). © Djoko T. Iskandar, Ben J. Evans, Jimmy A. McGuire, Wikimedia, CC by-sa 4.0
Découvert en 1996, le genre Limnonectes, endémique du Sulawesi, a divergé en plusieurs espèces qui se sont adaptées à différents habitats et régimes alimentaires. Ces grenouilles pèsent entre 2 et 900 g. Seules 4 des 25 espèces estimées sont réellement connues. Ici, un adulte et deux têtards (cercle jaune). © Djoko T. Iskandar, Ben J. Evans, Jimmy A. McGuire, Wikimedia, CC by-sa 4.0

Un étonnant genre de batracien s'est diversifié sur l'île des Célèbes, en Indonésie, haut lieu de la biodiversité. À la différence de la plupart de ses congénères, cette espèce ne pond pas des ovules ou des œufs fécondés, mais des larves à la métamorphose déjà bien avancée. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (10/01/2015).

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Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

La particularité de certains gènes des baleines boréales pourrait expliquer l’exceptionnelle longévité de ces mammifères marins. Cette découverte permet aussi de mieux cerner leur résistance naturelle aux maladies liées au vieillissement et au cancer. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (11/01/2015).

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Megaladapis edwardsi est l'une des trois à six espèces de ce genre de lémurien, disparu de Madagascar à l'arrivée des colons européens il y a 500 ans. Il ne ressemblait à aucun autre primate herbivore arboricole et n'a pu survivre à la déforestation et à la chasse. © FunkMonk (Michael B. H.), Wikimedia, CC by-sa 3.0
Megaladapis edwardsi est l'une des trois à six espèces de ce genre de lémurien, disparu de Madagascar à l'arrivée des colons européens il y a 500 ans. Il ne ressemblait à aucun autre primate herbivore arboricole et n'a pu survivre à la déforestation et à la chasse. © FunkMonk (Michael B. H.), Wikimedia, CC by-sa 3.0

Sept milliards d'êtres humains sur Terre : notre population se porte bien. Ce n'est pas le cas de nombreuses autres populations de vertébrés dans le monde : la moitié a chuté en quarante ans, essentiellement dans les milieux d'eau douce et dans les régions subtropicales. Plusieurs espèces animales mais aussi végétales disparaissent chaque année. Certaines ne sont plus là depuis des décennies alors que l'Homme consomme l'équivalent d'une planète et demie pour répondre aux besoins de ses activités. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/01/2015).

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Certains reptiles marins, comme le pélamide bicolore, peuvent passer jusqu'à 95 % de leur vie sous l'eau. Pour s'alimenter ? Non. Pour des raisons stratégiques : la forme en « S » de leur plongée, avec des phases de montée progressive, révèle une subtile exploitation de la colonne d'eau à diverses fins physiologiques et écologiques. Les moyens modernes d'investigation ont percé ces secrets reptiliens...
Mesurant parfois plus de 110 cm, les pélamides bicolores (Pelamis platurus) sont mal adaptés à la vie terrestre et sont relativement impuissants lorsqu'ils s'échouent. Grands apnéistes, ils sont en revanche capables de respiration cutanée, c'est-à-dire de récupérer l'oxygène de l'eau et d'y libérer du dioxyde de carbone. © Aloaiza, Wikimedia Commons, cc byb sa 3.0

Certains reptiles marins, comme le pélamide bicolore, peuvent passer jusqu'à 95 % de leur vie sous l'eau. Pour s'alimenter ? Non. Pour des raisons stratégiques : la forme en « S » de leur plongée, avec des phases de montée progressive, révèle une subtile exploitation de la colonne d'eau à diverses fins physiologiques et écologiques. Les moyens modernes d'investigation ont percé ces secrets reptiliens. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (09/12/2014).

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Les oiseaux vivant à la cime des arbres tropicaux, en Amazonie, comme cet Ara ararauna, accumuleraient moins de nouvelles espèces au cours du temps que ceux vivant dans le sous-bois. © Stopshutter, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Les oiseaux vivant à la cime des arbres tropicaux, en Amazonie, comme cet Ara ararauna, accumuleraient moins de nouvelles espèces au cours du temps que ceux vivant dans le sous-bois. © Stopshutter, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

L’émergence de nouvelles espèces animales ne résulterait pas uniquement de changements géographiques, comme la formation d’une montagne qui isolerait des populations les unes des autres et les ferait diverger avec le temps. La spéciation se poursuivrait bien au-delà, durant des périodes de stabilité. Du moins si l'environnement n'est pas trop perturbé. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (27/11/2014).

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Dans certaines populations animales, comme ici chez le babouin chacma, le plus grand risque couru par les petits en bas âge ne vient pas des prédateurs ni des maladies, mais des mâles de leur propre espèce, capables de les tuer pour garantir leur propre lignée. Ce comportement est responsable jusqu'à 70% de la mortalité infantile. © Tom Adams, domaine public
Dans certaines populations animales, comme ici chez le babouin chacma, le plus grand risque couru par les petits en bas âge ne vient pas des prédateurs ni des maladies, mais des mâles de leur propre espèce, capables de les tuer pour garantir leur propre lignée. Ce comportement est responsable jusqu'à 70% de la mortalité infantile. © Tom Adams, domaine public

Un infanticide a lieu chez certaines espèces de mammifères lorsqu'un mâle prend la tête d'un groupe composé essentiellement de femelles. En tuant les petits, le nouveau dominant accélère le retour à l'état reproductif des femelles et s'assure ainsi une descendance issue de ses gènes. Pour protéger leur progéniture, les femelles développent des stratégies payantes. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/11/2014).

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Un échantillon de la mégafaune vivant sur des mottes d'hydrocarbure (échelle blanche : 10 cm) : (A) Saccocalyx pedunculata, (B) une possible éponge Hexactinella sp., (C) une éponge rossellidée, (D) Farrea sp., (E) Anthomastus sp. et Psychrolutes macrocephalus, (F) une éponge jaune Paramuricea sp., (G) Actinernus michaelsarsi, (H) et (K) des brisingidées, (I) une ophiure sous l'asphalte, (J) un individu échinoïde. © Jones et al., Deep Sea Research Part I: Oceanographic Research Papers
Un échantillon de la mégafaune vivant sur des mottes d'hydrocarbure (échelle blanche : 10 cm) : (A) Saccocalyx pedunculata, (B) une possible éponge Hexactinella sp., (C) une éponge rossellidée, (D) Farrea sp., (E) Anthomastus sp. et Psychrolutes macrocephalus, (F) une éponge jaune Paramuricea sp., (G) Actinernus michaelsarsi, (H) et (K) des brisingidées, (I) une ophiure sous l'asphalte, (J) un individu échinoïde. © Jones et al., Deep Sea Research Part I: Oceanographic Research Papers

En Atlantique, des dizaines d’espèces animales sous-marines ont été découvertes vivant sur des mottes d’asphalte formées à la suite de rejets naturels de pétrole. Cette richesse nous en dit plus sur ces écosystèmes particuliers. De quoi guider les politiques environnementales en matière d’exploitations pétrolières offshore. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/11/2014).

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La station de ski d'Autrans (Vercors) a ouvert le premier « Forum de la Transition » de Mountain Riders, en décembre dernier, et s'est à nouveau retrouvé fin janvier pour approfondir des actions concrètes. © Mountain Riders
La station de ski d'Autrans (Vercors) a ouvert le premier « Forum de la Transition » de Mountain Riders, en décembre dernier, et s'est à nouveau retrouvé fin janvier pour approfondir des actions concrètes. © Mountain Riders

Lisez mon reportage sur les actions de Mountain Riders en faveur de la transition écologique dans les stations alpines de sports d'hiver.

Disponible en kiosque et en magasins bio :
"Pour des stations de ski plus écologiques"
Provence Durable - n°2 - hiver 2015

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Les grands dauphins et, sous réserve, les baleines et les marsouins seraient capables de s’orienter dans les océans grâce au champ magnétique terrestre. Un dysfonctionnement de cette aptitude pourrait expliquer les échouages massifs fréquemment observés sur le littoral. © Andréa Haug
Les grands dauphins et, sous réserve, les baleines et les marsouins seraient capables de s’orienter dans les océans grâce au champ magnétique terrestre. Un dysfonctionnement de cette aptitude pourrait expliquer les échouages massifs fréquemment observés sur le littoral. © Andréa Haug

Certains cétacés possèdent une sensibilité à un champ magnétique, c'est ce que révèle une étude expérimentale. Bien que les processus en jeu restent méconnus, cette découverte scientifique ouvre une nouvelle fenêtre sur la compréhension du monde sensoriel des dauphins. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (12/11/2014).

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