Rédactrice

Argentina anserina, aussi connue comme potentille ansérine a été initialement classée dans le genre Potentilla, puis déplacée dans Argentina dans les années 1990. Ses feuilles couvertes de fins poils argentés donnent son nom à l'espèce. © Kristian Peters Fabelfroh, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
Argentina anserina, aussi connue comme potentille ansérine a été initialement classée dans le genre Potentilla, puis déplacée dans Argentina dans les années 1990. Ses feuilles couvertes de fins poils argentés donnent son nom à l'espèce. © Kristian Peters Fabelfroh, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

La pigmentation d'une espèce de plante diffère suivant la localisation de ses populations entre l'équateur et les pôles. En cause, la part variable d'ultraviolets qui se réfléchissent sur ses pétales. Une découverte qui pourrait élargir au monde végétal un processus naturel jusque-là réservé aux animaux et enrichir alors la liste des indicateurs du changement climatique de la Planète. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (17/01/2015).

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Les lézards mâles, comme cet anole vert (Anolis carolinensis), possèdent un organe copulateur tubulaire finalisé par deux hémipénis symétriques d'où s'écoule la semence. © Cowenby, Wikimedia, CC by-sa 3.0
Les lézards mâles, comme cet anole vert (Anolis carolinensis), possèdent un organe copulateur tubulaire finalisé par deux hémipénis symétriques d'où s'écoule la semence. © Cowenby, Wikimedia, CC by-sa 3.0

Les chercheurs ont déjà beaucoup étudié les anoles, ces lézards vivant en Amérique et dans les Caraïbes. Ils en connaissent davantage sur leurs habitats, leurs relations avec d'autres espèces ou encore leur morphologie. Une nouvelle découverte surprenante vient pourtant d'être faite. Elle révèle que l'appareil reproducteur masculin de cet animal évolue beaucoup plus rapidement que le reste de son anatomie. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (19/01/2015).

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Découvert en 1996, le genre Limnonectes, endémique du Sulawesi, a divergé en plusieurs espèces qui se sont adaptées à différents habitats et régimes alimentaires. Ces grenouilles pèsent entre 2 et 900 g. Seules 4 des 25 espèces estimées sont réellement connues. Ici, un adulte et deux têtards (cercle jaune). © Djoko T. Iskandar, Ben J. Evans, Jimmy A. McGuire, Wikimedia, CC by-sa 4.0
Découvert en 1996, le genre Limnonectes, endémique du Sulawesi, a divergé en plusieurs espèces qui se sont adaptées à différents habitats et régimes alimentaires. Ces grenouilles pèsent entre 2 et 900 g. Seules 4 des 25 espèces estimées sont réellement connues. Ici, un adulte et deux têtards (cercle jaune). © Djoko T. Iskandar, Ben J. Evans, Jimmy A. McGuire, Wikimedia, CC by-sa 4.0

Un étonnant genre de batracien s'est diversifié sur l'île des Célèbes, en Indonésie, haut lieu de la biodiversité. À la différence de la plupart de ses congénères, cette espèce ne pond pas des ovules ou des œufs fécondés, mais des larves à la métamorphose déjà bien avancée. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (10/01/2015).

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Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

La particularité de certains gènes des baleines boréales pourrait expliquer l’exceptionnelle longévité de ces mammifères marins. Cette découverte permet aussi de mieux cerner leur résistance naturelle aux maladies liées au vieillissement et au cancer. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (11/01/2015).

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Megaladapis edwardsi est l'une des trois à six espèces de ce genre de lémurien, disparu de Madagascar à l'arrivée des colons européens il y a 500 ans. Il ne ressemblait à aucun autre primate herbivore arboricole et n'a pu survivre à la déforestation et à la chasse. © FunkMonk (Michael B. H.), Wikimedia, CC by-sa 3.0
Megaladapis edwardsi est l'une des trois à six espèces de ce genre de lémurien, disparu de Madagascar à l'arrivée des colons européens il y a 500 ans. Il ne ressemblait à aucun autre primate herbivore arboricole et n'a pu survivre à la déforestation et à la chasse. © FunkMonk (Michael B. H.), Wikimedia, CC by-sa 3.0

Sept milliards d'êtres humains sur Terre : notre population se porte bien. Ce n'est pas le cas de nombreuses autres populations de vertébrés dans le monde : la moitié a chuté en quarante ans, essentiellement dans les milieux d'eau douce et dans les régions subtropicales. Plusieurs espèces animales mais aussi végétales disparaissent chaque année. Certaines ne sont plus là depuis des décennies alors que l'Homme consomme l'équivalent d'une planète et demie pour répondre aux besoins de ses activités. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/01/2015).

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Certains reptiles marins, comme le pélamide bicolore, peuvent passer jusqu'à 95 % de leur vie sous l'eau. Pour s'alimenter ? Non. Pour des raisons stratégiques : la forme en « S » de leur plongée, avec des phases de montée progressive, révèle une subtile exploitation de la colonne d'eau à diverses fins physiologiques et écologiques. Les moyens modernes d'investigation ont percé ces secrets reptiliens...
Mesurant parfois plus de 110 cm, les pélamides bicolores (Pelamis platurus) sont mal adaptés à la vie terrestre et sont relativement impuissants lorsqu'ils s'échouent. Grands apnéistes, ils sont en revanche capables de respiration cutanée, c'est-à-dire de récupérer l'oxygène de l'eau et d'y libérer du dioxyde de carbone. © Aloaiza, Wikimedia Commons, cc byb sa 3.0

Certains reptiles marins, comme le pélamide bicolore, peuvent passer jusqu'à 95 % de leur vie sous l'eau. Pour s'alimenter ? Non. Pour des raisons stratégiques : la forme en « S » de leur plongée, avec des phases de montée progressive, révèle une subtile exploitation de la colonne d'eau à diverses fins physiologiques et écologiques. Les moyens modernes d'investigation ont percé ces secrets reptiliens. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (09/12/2014).

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Parmi 450 espèces d’anophèles sur la planète, une douzaine seulement sont responsables des transmissions humaines du paludisme. © CDC, Jim Gathany, domaine public
Parmi 450 espèces d’anophèles sur la planète, une douzaine seulement sont responsables des transmissions humaines du paludisme. © CDC, Jim Gathany, domaine public

Seize espèces de moustiques anophèles, dont certains sont vecteurs du paludisme, ont vu leur génome séquencé, après dix ans de recherche pluridisciplinaire et internationale. Les premières analyses comparatives révèlent des particularités génétiques fortes et une plasticité importante. Des données qui permettront de mieux appréhender l'agent infectieux. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (07/12/2014).

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Si deux volontaires bien portants ont développé une fièvre d'un jour après avoir reçu une dose d'un vaccin expérimental contre le virus Ebola (que l'on voit ici), aucune des autres personnes bénévoles pour cet essai clinique n'a présenté d'effets indésirables graves. © CDC/Dr. Frederick A. Murphy, Wikimedia Commons, domaine public
Si deux volontaires bien portants ont développé une fièvre d'un jour après avoir reçu une dose d'un vaccin expérimental contre le virus Ebola (que l'on voit ici), aucune des autres personnes bénévoles pour cet essai clinique n'a présenté d'effets indésirables graves. © CDC/Dr. Frederick A. Murphy, Wikimedia Commons, domaine public

Vingt adultes en bonne santé ont reçu un vaccin expérimental contre le virus Ebola dans le cadre d'un essai clinique de phase 1. La cohorte a bien toléré l'injection et, autre bonne nouvelle, son système immunitaire a réagi favorablement. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (03/12/2014).

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Les oiseaux vivant à la cime des arbres tropicaux, en Amazonie, comme cet Ara ararauna, accumuleraient moins de nouvelles espèces au cours du temps que ceux vivant dans le sous-bois. © Stopshutter, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Les oiseaux vivant à la cime des arbres tropicaux, en Amazonie, comme cet Ara ararauna, accumuleraient moins de nouvelles espèces au cours du temps que ceux vivant dans le sous-bois. © Stopshutter, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

L’émergence de nouvelles espèces animales ne résulterait pas uniquement de changements géographiques, comme la formation d’une montagne qui isolerait des populations les unes des autres et les ferait diverger avec le temps. La spéciation se poursuivrait bien au-delà, durant des périodes de stabilité. Du moins si l'environnement n'est pas trop perturbé. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (27/11/2014).

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Les chercheurs estiment que, pour survivre sur le plateau tibétain à 3.400 m d'altitude, hommes, plantes et animaux ont dû s'adapter physiologiquement. © Antoine Taveneaux, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Les chercheurs estiment que, pour survivre sur le plateau tibétain à 3.400 m d'altitude, hommes, plantes et animaux ont dû s'adapter physiologiquement. © Antoine Taveneaux, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Sur le plateau tibétain, d'anciennes populations humaines ont survécu à des altitudes inégalées. Leur secret : des stratégies agropastorales adaptées aux rudes conditions climatiques. De telles techniques pourraient inspirer l’agriculture moderne pour une meilleure sécurité alimentaire. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (25/11/2014).

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