Je suis heureuse de la parution du livre Le séisme sous toutes ses coutures (Ed. L'Harmatan, 2019, 142 p) auquel j'ai contribué. Dans ce recueil d'articles en sismologie écrits par plusieurs journalistes scientifiques et spécialistes des tremblements de terre, le lecteur découvre qu'il existe des séismes lents, que certains émettent des sons inaudibles (pour l'Homme), que d'autres induisent des phénomènes parfois plus dommageables qu'eux-mêmes (tsunami, glissement de terrain, liquéfaction des sols...) et que la vulnérabilité sociale est à considérer dans la gestion des risques - pour les sujets que j'ai traités. Bonne lecture !

Fin août 2016, l’Italie est pour la troisième fois en moins de dix ans frappée par un puissant séisme meurtrier qui ébranle la population comme les autorités. La récurrence de ces séismes a-t-elle préparé les Italiens à mieux absorber le choc ? Plus globalement, à quel point nos sociétés sont-elles vulnérables aux séismes, au-delà de la seule vulnérabilité physique des ouvrages et des bâtiments ? Quel est le degré de culture du risque et de résilience des populations ? Existe-t-il des solutions pour mieux cohabiter avec les séismes et ainsi réduire le niveau de risque ? (...)

Cliquez pour lire ce dossier rédigé par Andréa Haug pour la Lettre du Plan Séisme (1er trimestre 2017).

Fin août 2016, l’Italie est pour la troisième fois en moins de dix ans frappée par un puissant séisme meurtrier qui ébranle la population comme les autorités. La récurrence de ces séismes a-t-elle préparé les Italiens à mieux absorber le choc ? Plus globalement, à quel point nos sociétés sont-elles vulnérables aux séismes, au-delà de la seule vulnérabilité physique des ouvrages et des bâtiments ? Quel est le degré de culture du risque et de résilience des populations ? Existe-t-il des solutions pour mieux cohabiter avec les séismes, et ainsi réduire le niveau de risque ? (...)

Cliquez pour lire ce dossier rédigé par Andréa Haug pour la Lettre du Plan Séisme (4ème trimestre 2016).

Il est désormais reconnu que l’Homme, via ses activités, modifie le fonctionnement du « système Terre » : en injectant des fluides ou en extrayant des ressources, la pression et les contraintes varient et des phénomènes sismiques plus ou moins conséquents peuvent être induits. La diversification des formes d’exploitation du sous-sol et la multiplication des grands ouvrages hydrauliques donnent lieu à des observations montrant une concomitance troublante entre activités humaines et secousses sismiques, au point de se poser la question de devoir ajouter le risque sismique à la liste des risques industriels. Il demeure malgré tout difficile d’établir avec certitude l’origine anthropique de tel ou tel séisme considéré individuellement. (...)

Cliquez pour lire ce dossier rédigé par Andréa Haug pour la Lettre du Plan Séisme (3ème trimestre 2016).