Témoignage du festival Les Plages électroniques d'actions pour réduire la consommation d'eau dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.
Témoignage du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence d'actions en faveur de la réduction des déchets dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.
Témoignage du festival Musiks à Manosque d'actions pour améliorer les transports dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.
Témoignage du festival MIMI d'actions pour améliorer la communication et la sensibilisation du public dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.
Chez l’Homme, l’altération de la mémoire liée au vieillissement naturel serait causée par des changements dans une région spécifique du cerveau. Cette forme de déclin cognitif pourrait être enrayée par une intervention diététique à base de cacao. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (30/10/2014).
Il n’y a pas un, mais six virus Ebola à ce jour. Évolutive, la classification du virus distingue en effet six espèces suivant leur localisation initiale : Ebola Zaïre (virus identifié en 1976 dans la future RD Congo), Ebola Soudan (reconnu en 1979 au Soudan et en Ouganda), Ebola Reston (déterminé pour la première fois en 1983 à Reston, aux États- Unis), Ebola Forêt de Taï (ou Ebola Côte d’Ivoire, découvert en 1994, également en Guinée et au Liberia) et Ebola Bundibugyo (2008, issu d’une région ougandaise). La dernière souche virale confirmée est Ebola Guinée, qui sévit actuellement en Afrique de l’Ouest.
Leur sévérité pathologique varie : alors que la létalité d’Ebola Zaïre est théoriquement de 90 %, celle d’Ebola Soudan est moindre et celle d’Ebola Reston quasi nulle. Le taux de mortalité serait corrélé à la variabilité génétique des virus, de 30 % à 40% d’une souche à l’autre. Ainsi, Ebola Bundibugyo s’apparente davantage à Ebola Forêt de Taï, mais s’avère plus virulent que ce dernier.
La propagation interhumaine se réalise par le contact de sang, de selles et de liquides biologiques infectés ou de surfaces et matériaux souillés. Si les épidémies d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale ne sont pas liées – la souche congolaise étant génétiquement proche à 99,2 % d’Ebola Zaïre –, l’émergence de la maladie s’accélère pour autant. Connaître les modes de propagation du virus dans son réservoir naturel et de transmission entre espèces différentes serait ainsi salutaire dans la prévention et le contrôle d’Ebola.
Article à retrouver dans Jeune Afrique (numéro double 2807-2808 - du 26 octobre au 8 novembre 2014).
Les eaux souterraines qui amorceraient certains changements chimiques pourraient permettre de mieux anticiper les tremblements de terre. En Islande, de telles variations ont pu être constatées quelques semaines avant deux séismes, rapportent des spécialistes. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pourFutura Sciences (24/09/2014).
Les sexagénaires, septuagénaires et octogénaires en bonne forme physique et amateurs d'activités sportives régulières protègent leur cerveau des lésions dues à l'âge. Ainsi, la mémoire, le langage ou encore l'apprentissage sont chez eux des fonctions cognitives moins dégradées que chez des individus moins actifs. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (25/09/2014).