En provenance de Russie, une baleine grise, comme celle-ci, surnommée Varvara (Barbara, en russe), a traversé l'océan Pacifique d'ouest en est sur 10.880 km avant son retour. Le précédent record était détenu par une baleine à bosse : 9.800 km, entre les côtes du Brésil et de Madagascar. © Merrill Gosho, NOAA, Wikimedia Commons, domaine public
En provenance de Russie, une baleine grise, comme celle-ci, surnommée Varvara (Barbara, en russe), a traversé l'océan Pacifique d'ouest en est sur 10.880 km avant son retour. Le précédent record était détenu par une baleine à bosse : 9.800 km, entre les côtes du Brésil et de Madagascar. © Merrill Gosho, NOAA, Wikimedia Commons, domaine public

La plus longue migration réalisée par une baleine grise jamais enregistrée affiche plus de 22.500 km, entre l’ouest et l'est de l'océan Pacifique, aller et retour. Une découverte qui remet en cause la distinction de cette population des côtes russes, menacée d'extinction, avec celle des côtes mexicaines. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (26/04/2015).

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Un spécimen de Synapturanus salseri, une espèce d'amphibien de la famille des Microhylidés. © Maël Dewynter, MNHN, PNI
Un spécimen de Synapturanus salseri, une espèce d'amphibien de la famille des Microhylidés. © Maël Dewynter, MNHN, PNI

Après le volet marin, l'expédition terrestre de La planète revisitée en Guyane vient de s'achever. Son responsable, Olivier Pascal, directeur des opérations de recherche sur la biodiversité à l'ONG Pro-Natura International, nous dresse un premier bilan de cet inventaire de la biodiversité forestière. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/04/2015).

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Les efforts de conservation des gorilles des montagnes vivant dans la chaîne volcanique des Virunga, aux frontières du Rwanda, de l'Ouganda et de la République démocratique du Congo, ont porté leurs fruits. La population compte aujourd'hui 480 individus contre 253 en 1981, quand ils étaient victimes d'une forte chasse et de la destruction de leur habitat. © Cai Tjeenk Willink, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
Les efforts de conservation des gorilles des montagnes vivant dans la chaîne volcanique des Virunga, aux frontières du Rwanda, de l'Ouganda et de la République démocratique du Congo, ont porté leurs fruits. La population compte aujourd'hui 480 individus contre 253 en 1981, quand ils étaient victimes d'une forte chasse et de la destruction de leur habitat. © Cai Tjeenk Willink, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Le séquençage complet du génome des gorilles des montagnes révèle que ces grands singes vivent en petits groupes depuis des milliers d'années. Alors que la consanguinité pourrait, à terme, dégrader la santé de cette espèce en danger critique d'extinction, cette situation semble plutôt jouer en sa faveur. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (16/04/2015).

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Le nom de l'espèce Enyalioides altotambo fait référence à la ville où elle a été trouvée, à Alto Tambo, en Équateur. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys
Le nom de l'espèce Enyalioides altotambo fait référence à la ville où elle a été trouvée, à Alto Tambo, en Équateur. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys

Pourvues de couleurs et de motifs variés, parfois recouvertes de longues écailles en pointe, trois nouvelles espèces de lézards ont été découvertes dans les forêts brumeuses du Pérou et de l’Équateur. Elles appartiennent au genre Enyalioides. La diversité de ces « petits dragons » serait bien plus riche que supposé. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/04/2015).

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La surpêche menace les populations de poissons fourrage mais aussi celles des espèces qui s'en nourrissent comme le saumon, le thon ou les baleines. Ici : 400 tonnes de chinchard du Chili (Trachurus murphyi) pêchées par un senneur chilien. © C. Ortiz Rojas, Wikimedia Commons, DP
La surpêche menace les populations de poissons fourrage mais aussi celles des espèces qui s'en nourrissent comme le saumon, le thon ou les baleines. Ici : 400 tonnes de chinchard du Chili (Trachurus murphyi) pêchées par un senneur chilien. © C. Ortiz Rojas, Wikimedia Commons, DP

En mer, la pêche peut accentuer la diminution drastique des stocks de poissons fourrage sous l'effet de phénomènes naturels, selon une étude scientifique. Des stratégies simples et à faibles coûts permettraient pourtant aux populations animales de se régénérer. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (07/04/2015).

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Le plus vieux pin Bristlecone (Pinus longaeva) connu aurait atteint l'âge de 4.900 ans, en Californie. Il a été abattu en 1964. © Chao Yen, Flickr, CC by-nd 2.0
Le plus vieux pin Bristlecone (Pinus longaeva) connu aurait atteint l'âge de 4.900 ans, en Californie. Il a été abattu en 1964. © Chao Yen, Flickr, CC by-nd 2.0

Les végétaux ne vieillissent pas comme les animaux et, chez eux, la longévité peut se compter en siècles voire en milliers d'années. Plusieurs espèces établissent des records et, pour certains individus, il a été possible de déterminer approximativement la naissance. Le résultat est parfois surprenant. Rencontrez les spécimens les plus plus âgés du monde, de ce chêne pédonculé millénaire jusqu'à cette colonie clonale de peupliers faux-trembles qui existe depuis... 80.000 ans. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (24/03/2015)

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Une ferme aquaponique installée sur le toit d’un bâtiment à Bâle, en Suisse, fournit un restaurant et les habitants du quartier en légumes et en poissons (ici, un tilapia du Nil, Oreochromis niloticus). © Bjørn Christian Tørrissen, Wikimedia Commons, cc ba sa 3.0
Une ferme aquaponique installée sur le toit d’un bâtiment à Bâle, en Suisse, fournit un restaurant et les habitants du quartier en légumes et en poissons (ici, un tilapia du Nil, Oreochromis niloticus). © Bjørn Christian Tørrissen, Wikimedia Commons, cc ba sa 3.0

Un projet de recherche vise à optimiser l’aquaponie, une technique qui permet de combiner productions végétales hors-sol et élevage de poissons. Les résultats permettront aux professionnels de diversifier leurs activités tout en économisant la ressource en eau. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (07/04/2015).

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Vivant dans des milieux humides et chauds, les péripates se nourrissent d’insectes capturés de nuit en projetant sur eux une glu qui les immobilise. © Geoff Gallice, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0
Vivant dans des milieux humides et chauds, les péripates se nourrissent d’insectes capturés de nuit en projetant sur eux une glu qui les immobilise. © Geoff Gallice, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0

La façon dont le « ver géant » englue, par des jets multidirectionnels, ses victimes de colle en un temps record reposerait sur des particularités anatomiques de son système de projection. Ces découvertes pourraient inspirer des applications biotechnologiques. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (23/03/2015).

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sont d'un bleu vif tandis que les femelles et les juvéniles sont argentés ou beiges. © Andrew Brocher, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
sont d'un bleu vif tandis que les femelles et les juvéniles sont argentés ou beiges. © Andrew Brocher, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Baignant autrefois dans les eaux du sud-ouest des États-Unis, un poisson, Cyprinodon macularius, présent dans le sous-sol de la vallée de la Mort, s'est adapté de façon surprenante après la modification radicale de son environnement aquatique. L'adaptation de son métabolisme aux nouvelles conditions est un exemple étonnant de plasticité physiologique. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (23/03/2015).

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Les faunes de profondeur ne brillent pas par leurs couleurs, mais elles surprennent par les formes bizarres de certains animaux. En Guyane, la palme va sans aucun doute au Bathynomus, un isopode géant charognard, entre cloporte de cauchemar et animal de science-fiction . © Laure Corbari /Planète Revisitée en Guyane/MNHN/PNI
Les faunes de profondeur ne brillent pas par leurs couleurs, mais elles surprennent par les formes bizarres de certains animaux. En Guyane, la palme va sans aucun doute au Bathynomus, un isopode géant charognard, entre cloporte de cauchemar et animal de science-fiction . © Laure Corbari /Planète Revisitée en Guyane/MNHN/PNI

Après le Vanuatu, le Mozambique, Madagascar et la Papouasie-Nouvelle Guinée, l'expédition La planète revisitée explore la Guyane pour en inventorier la richesse biologique. L'échantillonnage marin se termine sur le constat d'une biodiversité bien plus riche que prévu et que nous découvrons en compagnie de Philippe Bouchet, du MNHN. Le volet terrestre de cette expédition scientifique, en forêt équatoriale, lui, touche à sa fin. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (26/03/2015).

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