Issu d'une fougère Gymnocarpium (à gauche) et d'une fougère Cystopteris (à droite), l'hybride vert pâle « × Cystocarpium roskamianum » est stérile, mais se reproduit par voie végétative et se cultive bien en pépinière. © Jeffdelonge, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0 et Kenzaiz, Wikimedia Commons, domaine public
Issu d'une fougère Gymnocarpium (à gauche) et d'une fougère Cystopteris (à droite), l'hybride vert pâle « × Cystocarpium roskamianum » est stérile, mais se reproduit par voie végétative et se cultive bien en pépinière. © Jeffdelonge, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0 et Kenzaiz, Wikimedia Commons, domaine public

Soixante millions d'années d'évolution séparent ces deux espèces de fougères des montagnes pyrénéennes. Et pourtant, elles se sont hybridées et ont donné naissance à une descendance viable. Un peu comme si un éléphant et un lamantin faisaient des petits ensemble. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (19/02/2015).

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Au lieu de mourir, la méduse Turritopsis nutricula rajeunit en polype. ©muzina shanghai, Flickr CC by-nc-sa 2.0
Au lieu de mourir, la méduse Turritopsis nutricula rajeunit en polype. ©muzina shanghai, Flickr CC by-nc-sa 2.0

Si l'Homme affiche d'impressionnants records de longévité dépassant le siècle, certains animaux marins n'ont rien à lui envier. Souvent nocturnes et de croissance lente, ils vivent parfois dans les profondeurs marines, ce qui accentue leur part de mystère. Ces espèces vivent des dizaines, des centaines d'années, voire davantage. Pourtant, beaucoup d'entre elles s'avèrent influencées et parfois menacées par le réchauffement climatique, la surpêche et la pollution de leur milieu. Voici un échantillon de ces êtres surprenant de vitalité. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (18/02/2015).

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Malgré les apparences, la Tamise s'avère polluée par les rejets des eaux usées, mais aussi par des déchets plastiques parfois de très petite taille. En plus de représenter un risque sanitaire pour l'Homme, ces pollutions impactent la faune et la flore du cours d'eau et de la mer du Nord où se jette la rivière. © David, Iliff, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Malgré les apparences, la Tamise s'avère polluée par les rejets des eaux usées, mais aussi par des déchets plastiques parfois de très petite taille. En plus de représenter un risque sanitaire pour l'Homme, ces pollutions impactent la faune et la flore du cours d'eau et de la mer du Nord où se jette la rivière. © David, Iliff, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Des chercheurs britanniques ont cartographié, grâce à un modèle, la répartition de la résistance aux antibiotiques dans les rivières. Selon eux, elle apparaîtrait facilement dans les cours d'eau et particulièrement près des stations d'épuration. D'autres facteurs, comme le type de paysage et les précipitations, impacteraient leur distribution. Ce modèle pourrait donc servir dans la gestion de ce problème sanitaire et environnemental. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/02/2015).

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Membres de la famille des hominidés et de l'ordre des primates, les chimpanzés forment un genre de grands singes apparentés à l'espèce humaine avec laquelle ils partagent 99,6 % de patrimoine génétique. © Thomas Lersch, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
Membres de la famille des hominidés et de l'ordre des primates, les chimpanzés forment un genre de grands singes apparentés à l'espèce humaine avec laquelle ils partagent 99,6 % de patrimoine génétique. © Thomas Lersch, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Exposés à une culture sociale différente, les chimpanzés pourraient choisir de changer la structure de leurs appels afin de se conformer socialement. Une aptitude qui semblait jusqu'à présent réservée à l'espèce humaine. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/02/2015).

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Certaines guêpes arrivent à distinguer les membres ne faisant pas partie de leur espèce. D'autres vont plus loin et identifient les intrus qui se seraient trompés de nid. © Arturo, Flickr CC by nc sa 2.0
Certaines guêpes arrivent à distinguer les membres ne faisant pas partie de leur espèce. D'autres vont plus loin et identifient les intrus qui se seraient trompés de nid. © Arturo, Flickr CC by nc sa 2.0

S'ils sont capables de distinguer les ennemis des membres de leur nid à leur odeur, des guêpes d'Asie du Sud-Est peuvent également recourir à leur vue. Suivant les situations, ils privilégient un sens sur l'autre pour repousser au mieux les indésirables. D'extraordinaires capacités sensorielles et comportementales pour un animal pourvu d'un si petit cerveau. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (10/02/2015).

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Témoignage du Festival de Chaillol d'actions pour améliorer la restauration du staff et des artistes dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.

Réalisation : Andréa Haug - Production : Arcade Paca/Plateforme aér - 2,12 minutes - 2014

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Elysia chlorotica vit en eaux peu profondes sur le littoral états-unien, entre la Nouvelle-Écosse et la Floride. Il mesure de 2 à 3 cm en moyenne. Sa morphologie lui permet de déployer plus ou moins ses flancs en fonction du rayonnement solaire. Son tube digestif ramifié rappelle les nervures d'une feuille. © Patrick Krug
Elysia chlorotica vit en eaux peu profondes sur le littoral états-unien, entre la Nouvelle-Écosse et la Floride. Il mesure de 2 à 3 cm en moyenne. Sa morphologie lui permet de déployer plus ou moins ses flancs en fonction du rayonnement solaire. Son tube digestif ramifié rappelle les nervures d'une feuille. © Patrick Krug

L'élysie émeraude peut survivre des mois sans se nourrir. Les scientifiques savent désormais comment : le mollusque marin fabrique sa propre nourriture grâce à la photosynthèse. Telle une plante, il incorpore dans ses cellules des chloroplastes et certains gènes d'une algue. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (06/02/2015).

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L'orang-outang, dont le nom signifie « homme de la forêt » en malais, se nourrit la plupart du temps de fruits, de jeunes pousses, d'écorces, de petits vertébrés, d'œufs d'oiseaux et d'insectes. Chaque jour, il construit un nid dans la canopée des arbres pour y passer la nuit. © Suneko, Wikimedia Commons, CC by sa 3.0
L'orang-outang, dont le nom signifie « homme de la forêt » en malais, se nourrit la plupart du temps de fruits, de jeunes pousses, d'écorces, de petits vertébrés, d'œufs d'oiseaux et d'insectes. Chaque jour, il construit un nid dans la canopée des arbres pour y passer la nuit. © Suneko, Wikimedia Commons, CC by sa 3.0

Les célèbres singes roux de Bornéo, jusqu'à présent arboricoles, se déplaceraient depuis peu au sol, allant jusqu'à emprunter les chemins des grumiers qui transportent les troncs. Cette rapide adaptation à leur environnement dégradé par l'Homme pourrait bien contribuer à leur survie. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (05/02/2015).

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Le phoque de Weddell, de la famille des pinnipèdes, peut passer une heure à chasser des poissons à 600 m de profondeur. © Changehali, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0
Le phoque de Weddell, de la famille des pinnipèdes, peut passer une heure à chasser des poissons à 600 m de profondeur. © Changehali, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0

Pour les cétacés et les pinnipèdes, chasser leurs proies en apnée à de grandes profondeurs représente un défi physiologique et physique extrême. Ils seraient même victimes de troubles du rythme du cœur. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (25/01/2015).

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Les zèbres sont des animaux herbivores vivant principalement en Afrique centrale et australe. Leurs rayures troubleraient la vision de leurs prédateurs (lions, hyènes, lycaons, etc.), les aideraient à se camoufler mais aussi à réguler leur température corporelle. © Key45, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.0
Les zèbres sont des animaux herbivores vivant principalement en Afrique centrale et australe. Leurs rayures troubleraient la vision de leurs prédateurs (lions, hyènes, lycaons, etc.), les aideraient à se camoufler mais aussi à réguler leur température corporelle. © Key45, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.0

Les spécialistes pensaient que les zébrures de ces équidés aidaient au camouflage ou à déstabiliser les carnivores. Une nouvelle étude rapporte qu'elles seraient thermorégulatrices et permettraient ainsi aux zèbres de mieux supporter les fortes chaleurs de la savane africaine. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/01/2015).

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