La pigmentation d'une espèce de plante diffère suivant la localisation de ses populations entre l'équateur et les pôles. En cause, la part variable d'ultraviolets qui se réfléchissent sur ses pétales. Une découverte qui pourrait élargir au monde végétal un processus naturel jusque-là réservé aux animaux et enrichir alors la liste des indicateurs du changement climatique de la Planète. (...)
Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (17/01/2015).